La grande chevauchée 2016 a démarré : Maïka et Renaud sont quelque part en Alentejo...
Point exact de la randonnée le mardi 28 juin :
Kilomètres parcourus: 197. Jours de marche: 8. Moyenne journalière tenue: 24,3 km. Température moyenne: 39. Ampoules: 3 (résorbées...) Kilos perdus.... Environ 4 (seulement!). Amis rencontrés : quantité incalculable. Objectif: atteindre la frontière nord à Bragança dans 2 semaines et demi.
Extrait du blog de Renaud Hadef : Je marche aux côtés de Maika afin de perdre des kilos qui compenseront le poids du matériel. Nous affichons une moyenne de 24 km par jour. Nos principales étapes ont été : Messines, Sao Marco da Serra, Grandola….
"Ouvrir une voie de randonnée équestre à travers 3 pays, depuis l'Algarve jusqu'en Normandie"
voici le défit de Renaud Hadef, le peintre des chevaux !
Ce passionné de chevaux part avec sa jument Maïka pour ce long périple de 2000 kms à travers le Portugal, l'Espagne et la France. Des professionnels et amateurs équestres pourront se joindre à lui pour l'accompagner sur une ou plusieurs journées... et ainsi revivre l'époque où le cheval était le meilleur compagnon de l'homme au quotidien et se déplaçaient à travers les chemins non goudronnés, dormaient à la belle étoile, demandaient le gite et le couvert pour les 2 compagnons.
Renaud Hadef est un artiste peintre, il réalisera des aquarelles tout au long de son aventure. Vous pourrez le suivre à travers son site web ou le facebook et l'encourager de différentes façons : le sponsoriser, l'accompagner sur quelques kilomètres, acheter sa brochure illustrée d'aquarelles (en fin de parcours), et/ou son tee-shirt officiel ici.
Renaud Hadef écrit également ! A lire absolument sur Blasting News !
Ici un petit extrait écrit lors de sa préparation avant le grand départ :
"Les aubes enflammées inondent les orangers et les oliviers. Les oiseaux s'éveillent aussi, unissant leurs dons de choristes pour donner à la scène un sens lyrique. Les aubes du paradis sont ainsi : d'abord les quelques pas d'un cheval à une portée de caresse de la tente, des parfums exacerbés par une légère rosée, et un ciel que j'aurais du mal à peindre tant il est généreux et surréaliste. On en prend plein les poumons, et dés que l'on écarte la moustiquaire, comme on ouvrirait le rideau de scène d'un théâtre, le regard s'illumine et court d'arbre en arbre, s'arrête un instant sur la jument qui somnole, et la plénitude vous envahit, presque violente."
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